Driving through Canada’s countryside at this time of the year, it is hard to miss our farm neighbours busily finishing up their fall harvesting, with clouds of dust in the air and
tractor lights in the fields at midnight. We don’t usually think much about the risks and uncertainties they face as they produce high quality, safe food for Canadians and the world.
Clearly, Canadian farmers and ranchers face risks that most of us would shrink at- from extreme weather events, hail and drought that can make or break a season’s production, to volatile
commodity markets, exchange rates and interest rates on debt, not to mention the million dollar investments on farm machinery, equipment and land. One wonders how they can sleep at night! This perhaps explains the recent focus on programs that address farmers’
mental health issues by some of Canada’s leading farm groups, including Farm
Management Canada and
provincial
associations and federations of agriculture.
On top of all this, farmers and ranchers are constantly reminded of how detrimental their production decisions are for the environment. Social media headlines tout how harmful methane
emissions are from their cattle, how nitrogen from manure and fertilizer is leaching into waterways and the air, and how much soil is being degraded through their tillage practices and cropping decisions.
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We
need your opinion!
PERFORMANCE SURVEY
CAPI has commissioned an evaluation firm, RCGT - Raymond Chabot Grant Thornton to conduct an independent performance evaluation of the Institute’s relevance and performance for the
2021 to 2022 period. This evaluation is required under the terms of CAPI’s grant.
The questions listed below are intended to provide a basis for discussing the extent to which CAPI has achieved its expected outcomes and to explore opportunities to improve future
activities and attract funding beyond the term of the current agreement.
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Humanity’s Ecological Footprint by land use and by activities
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This month’s great graph comes from the
Living
Planet Report from the World Wildlife Fund. It shows humanity’s ecological footprint, or the demands placed on the planet’s biosphere through consumption. The outer
ring shows the human ecological footprint by land use: 24% is attributed to agriculture (19% cropland, 5% grazing land). The inner circle shows the ecological footprint by activity: food is responsible for 30%. The report provides further analysis on the regional
pressures on specific species groups within the biosphere.
Biodiversity and the pressures placed on the biosphere is an example of a negative externality arising out of the creation of a market. Plants and animals are not the agents who are
buying or selling agricultural products, and yet, they must bear the consequences. The work described in this report can help quantify this negative externality, thus allowing it to be priced into the markets which are responsible for generating it.
WWF
(2022) Living Planet Report 2022 – Building a nature- positive society. Almond, R.E.A., Grooten, M., Juffe Bignoli, D. & Petersen, T. (Eds). WWF, Gland, Switzerland
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Living Planet Report 2022 – Building a Nature Positive Society
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CAPI’s recent work on “pricing the unpriceable” and “externalities”, featured in this month’s Newsletter, highlights the difficulties in valuing the environmental costs or benefits
from agricultural production and the measures needed to address them. Biodiversity loss is one such cost due to land use changes from agriculture. Hence
What We are Reading this month focusing on the World Wildlife Federation’s
Living Planet Report 2022 on global biodiversity is timely.
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With 50 years of trend data on numbers of mammals, reptiles, birds, amphibians and fish, and new mapping technology, the WWF provides a dire picture of the state of global biodiversity:
global average monitored wildlife populations declined by 69% over the 1970 to 2018 period.
The report concludes that a nature positive future requires game-changing shifts in how we produce, consume, govern and what we finance so we can restore nature and the environmental
services it provides from tangible benefits such as food, fibre and fuel to intangible benefits related to nature’s contribution to our health and wellbeing. Achieving net positive biodiversity by 2030 will help us reach that goal and the upcoming COP 15 in
Montreal in December will help with a framework. But we have to start with how to value it.
World Wildlife Fund (2022), Living Planet Report 2022 – Building a Nature Positive Society, October 2022. Available here:
lpr_2022_full_report_en.pdf
(wwf.ca).
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The global economy is quite messy right now and it is affecting all facets of people’s lives. Most western economies are taking steps to fight inflation and the consensus is that
we will likely face some kind of recession...
Dr. Al Mussell says Europe is already facing smaller harvests of food crops because of their situation.
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En conduisant dans la campagne canadienne à cette époque de l'année, il n'est pas difficile de manquer les agriculteurs qui terminent les récoltes d'automne avant que la neige ne
tombe. En général, nous ne pensons pas beaucoup aux risques et aux incertitudes auxquels ils sont confrontés alors qu'ils s'efforcent de produire des aliments salubres et de haute qualité pour les Canadiens et le monde entier.
Il est clair que les agriculteurs et les éleveurs canadiens font face à des risques que la plupart d'entre nous réduiraient à néant, qu'il s'agisse de phénomènes météorologiques
extrêmes, de la grêle et de la sécheresse qui peuvent faire ou défaire les résultats d'une saison, de la volatilité des marchés des produits de base et des taux de change, des paiements d'intérêts sur la dette, de l'impact des guerres et des différends commerciaux,
des pénuries de main-d'œuvre, ou encore des investissements de millions de dollars dans la machinerie agricole et les terres nécessaires pour rester compétitif. C'est à se demander comment ils peuvent dormir la nuit ! L'accent mis récemment par Gestion
agricole du Canada et d'autres organismes sur les programmes qui traitent des problèmes de santé mentale des agriculteurs témoigne des difficultés auxquelles
ils sont confrontés.
En plus de tout cela, on rappelle constamment aux agriculteurs et aux éleveurs à quel point leurs décisions de production sont néfastes pour l'environnement. Les manchettes des médias
sociaux font état de la nocivité des émissions de méthane produites par leur bétail, du lessivage dans les cours d'eau et dans l'air de l'azote provenant du fumier et des engrais, et de la dégradation des sols causée par leurs pratiques de travail du sol et
leurs décisions en matière de culture.
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Nous avons besoin de votre opinion!
ÉVALUATION
DU RENDEMENT
L’ICPA a demandé à Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT), une société d’évaluation, d’effectuer une évaluation indépendante du rendement et
de la pertinence de l’Institut pour la période 2021-2022. Cette évaluation est requise dans le cadre de la subvention de l’ICPA.
Les questions serviront de base pour les discussions visant à établir la mesure dans laquelle l’ICPA a atteint les résultats escomptés et
à examiner les possibilités d’améliorer les activités futures et d’obtenir du financement après la fin de l’entente actuelle.
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Enregistrement complet | Fixer le prix de l'impayable: Les externalités & la politique agricole canadienne
90 minutes
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Points essentials | Fixer le prix de l'impayable: Les externalités & la politique agricole canadienne
5 minutes
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Vous
pouvez faire la différence!
Le travail de l'ICPA n'est possible que grâce à l'appui généreux de particuliers et d'organisations. Faites un don ici pour soutenir l'ICPA par le biais de
la Fondation canadienne de l'agroalimentaire, un organisme de bienfaisance enregistré.
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Notre grand graphique ce mois-ci provient du rapport
Living
Planet
de la World Wildlife Fund. Il montre l'empreinte écologique de l'humanité, c'est-à-dire les exigences imposées à la biosphère de la planète par la consommation. L'anneau extérieur
montre l'empreinte écologique de l'humanité en fonction de l'utilisation des terres : 24 % est attribué à l'agriculture (19 % terres cultivées, 5 % pâturages). Le cercle intérieur montre l'empreinte écologique par activité : l'alimentation est responsable
de 30 %. Le rapport fournit une analyse plus approfondie des pressions régionales exercées sur des groupes d'espèces spécifiques au sein de la biosphère.
La biodiversité et les pressions exercées sur la biosphère sont un exemple d'une externalité négative découlant d'un marché économique. Les plantes et les animaux ne sont pas les agents
qui achètent ou vendent les produits agricoles, et pourtant, ils doivent en supporter les conséquences. Les travaux décrits dans ce rapport peuvent aider à quantifier cette externalité négative, permettant ainsi de l'intégrer dans les marchés qui sont responsables
de sa création.
WWF
(2022) Living Planet Report 2022 – Building a nature- positive society. Almond, R.E.A., Grooten, M., Juffe Bignoli, D. & Petersen, T. (Eds). WWF, Gland, Switzerland
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Les travaux récents du CAPI sur la « tarification de l'inestimable » et les « externalités », présentés dans la lettre d'information de ce mois-ci, mettent en évidence les difficultés
à évaluer les coûts ou les avantages environnementaux de la production agricole et les mesures nécessaires pour y faire face. La perte de biodiversité est l'un de ces coûts en raison des changements d'utilisation des terres résultant de l'agriculture. Par
conséquent, ce que nous lisons ce mois-ci en se concentrant sur le rapport Planète vivante 2022 du Fonds mondiale pour la nature (WWF) sur la biodiversité mondiale est opportun.
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Avec 50 ans de données sur les tendances du nombre de mammifères, de reptiles, d'oiseaux, d'amphibiens et de poissons, et une nouvelle technologie de cartographie, le WWF fournit une
image désastreuse de l'état de la biodiversité mondiale : les populations fauniques surveillées mondiales ont diminué de 69 % entre 1970 et 2018.
Le rapport conclut qu'un avenir positif pour la nature nécessite des changements révolutionnaires dans la façon dont nous produisons, consommons, gouvernons et ce que nous finançons
afin que nous puissions restaurer la nature et les services environnementaux qu'elle fournit, des avantages tangibles tels que la nourriture, les fibres et le carburant aux avantages intangibles liés à la contribution de la nature à notre santé et à notre
bien-être. Atteindre une biodiversité nette positive d'ici 2030 nous aidera à atteindre cet objectif et la prochaine COP 15 à Montréal en décembre aidera à établir un cadre. Mais nous devons commencer par la façon de l'évaluer.
Le
Fonds mondiale pour la nature (2022), Living Planet Report 2022 – Building a Nature Positive Society, octobre 2022. Disponible ici
:
lpr_2022_full_report_en.pdf
(wwf.ca).
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L'ICPA dans les nouvelles
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L'économie mondiale est assez désordonnée en ce moment et elle affecte toutes les facettes de la vie des gens...
Selon le Dr Al Mussell, l'Europe est déjà confrontée à une diminution des récoltes de cultures vivrières en raison de sa situation.
Lisez
l'article complet en cliquant sur l'image du titre.
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