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The year 2022 has seen fertilizer emerge as a globally strategic commodity, eliciting analysis in the realms of trade, transport, and investment. CAPI now joins the conversation
from an agricultural policy perspective to frame the current situation, depict the medium- and long-term implications on Canadian farmers, and suggest policy solutions.
Policy at the national and international levels have had major impacts on the global fertilizer market. In 2021, China and Russia introduced export controls on fertilizer as elements
of trade policy, resulting in price spikes. Business closures and pandemic-related lockdowns severely limited the production and movement of fertilizer.
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Then in 2022, political responses to the Russia-Ukraine war included rail and seaway disruptions and economic sanctions, decreasing the supply of fertilizer and natural gas, a key
input in the production of nitrogen fertilizers. Quite apart from current market and geo-political tensions, the limited supplies and suppliers of phosphate fertilizers are increasingly perceived as a source of vulnerability in a more volatile world.
In this environment, producers and the broader agri-food sector in Canada must have an understanding of the situation, be able to update expectations as the new 2023 crop year approaches,
and assess risks. This Research Report
outlines Canadian fertilizer markets, identifies the key sources of uncertainty, and provides recommendations for a Canadian policy response.
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Global factors, including fertilizer export restrictions, production disruptions in Europe and the Russian invasion of Ukraine, are disrupting fertilizer
supplies and increasing prices.
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Canada has regional fertilizer markets, and the impact of this global disruption is felt most acutely in Eastern Canada, where imports are an essential
source of fertilizer supply, especially for urea.
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The 35 percent duty Canada placed on Russian fertilizer following its invasion of Ukraine has impacted Canadian farmers, making a historically significant
source of fertilizer cost prohibitive, but given the global demand, has had little impact on Russia.
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Removing the duty is the most effective policy solution to ensure the fertilizer supply in Canada. Other solutions include investing in infrastructure
to facilitate domestic trade and increasing capacity in Eastern Canada, but both are expensive and long-term propositions.
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Fall 2022 Webinar Recordings
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En 2022, les engrais sont devenus un produit stratégique à l’échelle mondiale, ce qui a conduit à des analyses dans les domaines du commerce, du transport et de l’investissement.
L’ICPA se joint maintenant à la conversation du point de vue de la politique agricole pour définir la situation actuelle, décrire les répercussions à moyen et à long terme sur les agriculteurs canadiens et proposer des solutions de rechange.
Les politiques aux niveaux national et international ont entraîné des répercussions majeures sur le marché mondial des engrais. En 2021, la Chine et la Russie ont introduit des contrôles
à l’exportation des engrais comme éléments de la politique commerciale, ce qui a entraîné la flambée des prix. Les fermetures d’entreprises et les mesures de confinement liées à la pandémie ont considérablement limité la production et le mouvement des engrais.
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Puis, en 2022, les réponses politiques à la guerre entre la Russie et l’Ukraine ont causé des perturbations des services ferroviaires et maritimes et des sanctions économiques, diminuant
ainsi l’approvisionnement en engrais et en gaz naturel, des intrants clés de la production d’engrais azotés. Indépendamment des tensions actuelles sur le marché et sur le plan géopolitique, les approvisionnements et le nombre de fournisseurs d’engrais phosphatés
limités sont de plus en plus perçus comme une source de vulnérabilité dans un monde plus instable.
Dans ce contexte, les producteurs et l’ensemble du secteur agroalimentaire au Canada doivent comprendre la situation, doivent gérer leurs attentes à l’approche de la nouvelle campagne
agricole 2023, et doivent évaluer les risques. Le présent rapport Recherche décrit les marchés canadiens des engrais, cerne les principales sources d’incertitude, et propose des recommandations comme réponse politique canadienne.
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Des facteurs mondiaux, notamment les restrictions à l’exportation d’engrais, les perturbations de la production en Europe, et l’invasion de l’Ukraine
par la Russie, perturbent l’approvisionnement en engrais et font augmenter les prix.
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Le Canada a des marchés régionaux d’engrais, et l’impact de cette perturbation mondiale se fait sentir de façon plus aiguë dans l’Est du Canada, où les
importations sont une source essentielle d’approvisionnement en engrais, surtout en urée.
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Le droit de douane de 35 % imposé par le Canada sur les engrais russes à la suite de l’invasion de l’Ukraine a eu des répercussions sur les agriculteurs
canadiens, rendant prohibitif le coût d’une source d’engrais historiquement importante, mais compte tenu de la demande mondiale, il a eu peu d’impact sur la Russie.
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La suppression du droit de douane est la solution politique la plus efficace pour assurer l’approvisionnement en engrais au Canada. Les autres solutions
comprennent l’investissement dans les infrastructures pour faciliter le commerce intérieur et l’augmentation de la capacité dans l’Est du Canada, mais ces deux solutions sont coûteuses et à long terme.
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Enregistrements des webinaires de l'automne 2022
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